Sunday 21 September, fifty people died and two rioters were
captured alive after a series of bomb attacks in Xinjiang’s
Luntai County2, north-west of China.
The blasts were described by the authorities as an “organized
and serious” terrorist attack. They occurred at two police stations, a shop and a produce
market
Last year
around 300 people died in violence in Xinjiang. The authorities accused terror groups of the Uighur
minority with separatist ambitions. Uighurs are mostly Muslim
and many of them don’t accept
the economic dominance of China’s majority Han ethnic group.
Radio free
Asia, a US news service, quoted a local teacher who said the attackers Sunday
were Uighurs, angry at
mass forced evictions to make
way for Han Chinese
immigrants.
Uighur activists
claim that mainly deadly incidents are caused by police attacking protesters or forcing women to
remove their veils.
Moreover, they accused Chinese police of adopting a "shoot first"
policy that mainly targets
the innocent.
The injured
civilians comprised 32 ethnic Uighurs and 22 Han. The 40 "rioters,"
or assailants, either died from their own explosions or were shot dead by
police who "took decisive action," the website reported.
The main
suspect, Mamat Tursun, a
Uighur-sounding name, was shot dead Sunday.
The rising
tide of violence in Xinjiang is difficult to evaluate as authorities routinely
block foreign media access.
Human rights groups, including the New York-based Human Rights, have called on China to accept independent investigations to
confirm if the use of force was justified. For their part, Chines authorities
have launched a
year-long crackdown
against terrorism.
Lise
De nouveaux
incidents font 50 morts au Xinjiang
Dimanche
21 septembre, 50 personnes sont mortes
et 2 manifestants ont été capturés après une série d’attentats à la bombe dans le Xinjiang.
Les explosions sont décrites par les autorités comme une "attaque terroriste organisée et de grande ampleur". Les explosions ont touché deux
postes de polices, une boutique et un "produce market" .
L’année dernière dans le Xinjiang, environ 300 personnes sont mortes de la violence
là-bas. Les autorités accusent
des groupes terroristes avec des ambitions séparatistes de la minorité ouïgoure, une population majoritairement
musulmane. Certains Ouïghours
n’acceptent pas la domination
économique du groupe ethnique chinois majoritaire, les Han.
Radio Free Asia, un organe de presse américain, a cité un professeur local qui
disait que les attaquants de dimanche étaient des Ouïghours, mécontents du nombre
d’expulsions forcées destinées
à faire de la place aux
immigrants Han.
De l’autre côté, des militants ouïghours affirment que la
plupart des incidents mortels sont causés par la police qui attaque des Ouïghours protestant contre la politique répressive, comme forcer
les femmes ouïgoures
à enlever le voile.
De plus, ils accusent la police chinoise d’adopter une
politique du « tirer
d’abord » qui vise aussi les innocents.
Les civils blessés comptent 32 Ouïghours et 22 Hans. Les 40 manifestants ont été tués pour la
plupart par leur propre bombe ou par la police qui « a pris des mesures
décisives », rapporte un site internet
Le suspect principal, Mamat Tursun, un nom à consonance ouïghoure, a été tué dimanche.
La montée de la violence dans le Xinjiang est difficile à
évaluer car les
autorités ont l’habitude de bloquer l’accès aux médias étranger. Des groupes de défense des droits de
l’homme tels que l’organisation new-yorkaise Human Rights ont appelé la
chine à accepter des enquêtes indépendantes pour confirmer si l’utilisation de
la violence est justifiée. Pour leur part, les autorités chinoises vont lancer
une campagne anti-terroriste d’un an.
Lise
Source : http://www.usatoday.com/story/news/world/2014/09/26/china-xinjiang-terrorism-50-dead/16249969/
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