Gui Minhai, a forgotten Swedish bookseller, reappeared in the media, with a controversial subject. The Chinese press accuse him of being involved in activities endangering national security, which is a very seriousaccusation that could ruin his life.
He was one of the five most famous booksellers talking about politics in China.
He has already known a lot of problems with Chinese Justice because of political issues, and has made several stays in prison, because of his articles about private life of the politics.
On January 20, he was seen with Swedish diplomats by Chinese Agents. After that, he was forced to go to Pekin to be judged.
Gui explained his "illegal trade" and told the media that Sweden used him to obtain information.
"I was the pawn of Sweden"
Chinese authorities still want to punish Gui more severely. He is not in detention anymore but is forced to stay in China, where agents are informed of each one of his move.
Journaliste ou taupe ?
Gui Minhai, un libraire suédois oublié, est réapparu dans les médias à cause d'un sujet épineux touchant à la relation diplomatique entre la Chine et la Suède.
En effet, la Chine l'accuse d'être impliqué dans des activités pouvant mettre en danger la sécurité nationale.
Cette accusation est très grave et pourrait complètement changer la vie de Gui et de sa famille si elle est confirmée.
Gui fait partie des cinq éditeurs les plus connus ayant publié des ouvrages qui font du bruit sur la politique chinoise, et ce ne sont pas ses premiers problèmes avec la justice : il a en effet déjà séjourné en prison de nombreuses fois.
Il publiait des articles compromettants sur le comportement des dirigeants chinois.
Le 20 janvier, des agents chinois l’ont surpris accompagné de diplomates suédois et il fut rapatrié de force à Pékin pour être jugé.
Gui reconnut ses activités jugées illégales et accusa la Suède de s'être servie de lui pour obtenir des informations sur la Chine.
"J'étais le pion de la Suède"
La justice chinoise souhaitait le punir plus sévèrement, mais par manque de preuves, il n'est plus en détention. En revanche, il n'a pas le droit de quitter la Chine, et chacun de ses mouvements est surveillé.
Lyna
Sources :
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