Sunday 12 February

Sudanese rebels release Chinese workers

On Tuesday 6, the Red Cross announced the 29 Chinese construction workers abducted in Sudan had been freed. They worked for the Chinese company Power Construction Corp. and had been kidnapped by Sudanese rebels 11 days ago on the road construction site where they were working.

The abduction happened in Sudan's South Kordofan state. When the rebels attacked, 18 workers were able to escape. However, according to Xinhua – the Chinese official news agency – one of them died in the raid. Sudanese authorities handed over the worker's body.

South Sudan is a particularly dangerous area mostly controlled by a minority ethnic group which belongs to the Sudan People’s Liberation Movement-North.

This guerilla movement has been fighting against Khartoum’s regimes for years and its rebels have fought several conflicts with the Sudanese Army forces.

The hostages were released after painstaking efforts from the Chinese government in collaboration with the Sudan's Ministry of Foreign Affairs. The workers left Sudan by a Red Cross plane. They were welcomed by Chinese Embassy officials in Nairobi, Kenya.

Fortunately the 29 workers are fine, even though they need to rest before flying home, which might happen on Thursday.

Chinese government thanked Sudan, South Sudan and the Red Cross, even if the committee said it didn’t have any role in negotiations for the release.

My opinion:

China has various oil projects in southern Sudan and therefore enjoys its oil exports. However the “black gold” is produced in South Sudan but must travel across the north in order to be exported. This is a problem because both countries claim control over oil reserves. The abduction of hostages by rebels can be seen as a revolt, a means of pressure or intimidation.

Elisa

Sources:

* http://edition.cnn.com/2012/02/07/world/africa/sudan-hostages/index.html

* http://www.washingtonpost.com/world/asia-pacific/beijing-says-body-of-missing-chinese-worker-found-in-sudan-29-abducted-to-be-released-soon/2012/02/06/gIQANu0FvQ_story.html


Otages chinois et conflits soudanais

Lundi 6 Février, la Croix Rouge a annoncé la libération au Soudan de 29 ouvriers chinois des travaux publics. Ces travailleurs de la compagnie chinoise Power Construction Corp. avaient été enlevés par des rebelles soudanais il y a onze jours, sur leur chantier de construction d’une route.

L’enlèvement avait eu lieu dans l’Etat de Kordofan, situé au sud du Soudan. Lorsque les rebelles ont attaqué, 18 ouvriers sont parvenus à s’échapper mais l’un d’entre eux est décédé, d’après Xinhua – l’agence chinoise officielle d’information. Le corps a été rapatrié en Chine par les autorités soudanaises.

Le sud du Soudan est une zone particulièrement dangereuse. En effet, elle est principalement sous le contrôle d’une minorité ethnique appartenant au Mouvement de libération du peuple soudanais-Nord.

Cette guérilla a toujours lutté contre les régimes de Khartoum et les rebelles ont généré de nombreux conflits

avec les forces armées soudanaises.

Les otages ont été relâchés après de multiples efforts entrepris par le gouvernement chinois, en collaboration avec le Ministère soudanais des Affaires Etrangères. Ils ont étés transportés à Nairobi, Kenya, par un avion affrété par la Croix Rouge.

Heureusement, les 29 travailleurs sont plutôt en forme, mais ils prennent du repos avant de rentrer chez eux par avion, probablement Jeudi.

Le gouvernement chinois a remercié le Soudan, le Sud-Soudan ainsi que la Croix Rouge, même si celle-ci assure n’avoir joué aucun rôle dans les négociations pour la libération des otages.

Mon opinion:

Après de nombreux accords, la Chine possède plusieurs projets pétroliers avec le Sud-Soudan et jouit donc de

ses exports pétroliers. Cependant l’or noir produit au Sud-Soudan doit passer par le Soudan (au Nord) afin d’être exporté. Cela pose problème car les deux pays se disputent le contrôle des réserves pétrolières. La prise d’otages par les rebelles peut être considérée comme une révolte, un moyen de pression ou bien un moyen d’intimidation.



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