Hong Kong Democracy under threat

On Wednesday 11 November, 4 Hong-Kong pro-democratic MPs have been removed from office after China gave permission to the local authorities to get rid of any lawmaker considered to be a threat to national security.

In response, the others 15 MPs resigned from their position. The Hong-Kong parliament reconvened Thursday without them. After that, the EU asked on the same day that China should reconsider “immediately” those decisions and called for the “immediate reinstatement” of dismissed deputies in a communiqué written by the High Representative for Foreign Affairs Joseph Borell speaking in the name of the 27.

Other countries like the USA threatened China with new economic sanctions for blatantly violating Hong Kong's autonomy. The UK denounced China’s decision as “a new attack on Hong Kong's high degree of autonomy and freedom” said Foreign Minister Dominic Raab.


At a press conference, China’s Foreign Affairs spokesperson Wang Wenbin rejected the “mendacious accusations from some countries” saying that “no foreign countries have the right to make irresponsible remarks in order to interfere” in Hong-Kong affairs. Previously, Beijing had criticized the collective resignation of opposition deputies as a “farce”.


La démocratie menacée à Hong Kong.


Mercredi 11 novembre, 4 députés pro-démocratiques de Hong-Kong ont été démis de leurs fonctions après que la Chine eut donné l'autorisation aux autorités locales de se débarrasser de tout législateur considéré comme une menace pour la sécurité nationale.

En réaction, les 15 autres députés ont démissionné.

Le Parlement de Hong-Kong s'est réuni sans eux jeudi.

 L'UE a ensuite demandé le même jour que la Chine reconsidère « immédiatement » ces décisions et a appelé à la « réintégration immédiate » des députés exclusdans un communiqué rédigé par le Haut Représentant pour les Affaires étrangères Joseph Borell, s'exprimant au nom des 27.

D'autres pays comme les États-Unis ont menacé la Chine de nouvelles sanctions économiques pour avoir violé de manière flagrante l'autonomie de Hong Kong. Le Royaume-Uni a dénoncé la décision de la Chine qu'il considère comme « une nouvelle attaque contre le haut degré d'autonomie et les libertés de Hong Kong », a déclaré le ministre des affaires étrangères Dominic Raab.

 

Interrogé lors d'un point de presse, le porte-parole de la diplomatie chinoise Wang Wenbin a rejeté les « accusations gratuites de certains pays » en déclarant qu' « aucun pays étranger n'a le droit de faire des remarques irresponsables et de s'immiscer » dans les affaires de Hong-Kong. Auparavant, Pékin avait critiqué la démission collective des députés de l'opposition comme étant « une farce ».


Thomas.


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